BIOGRAPHIE

Jack, de son vrai nom Jean Launay, auteur-compositeur-interprète français, a débuté dans les années 80.

Né en 1959 à Montpellier d’un père franco-anglais et d’une mère française, tous les deux profs d’anglais, il baigne dans le son du Rock Sixties d’Elvis et surtout des Beatles, puis le Rock Progressif de Magma ou Frank Zappa des années 70. La chanson française aussi, pour la beauté des textes de Jacques Brel, Serge Gainsbourg et Jacques Higelin, ainsi que le Reggae de Bob Marley, l’Afro Beat de Fela Kuti et l’univers de Peter Gabriel finiront de constituer ses influences majeures.

Le pseudonyme Jack vient de ses influences littéraires, Jack London, Jack Kerouac, Jacques Brel et Jacques Higelin, et de son père François-Jack, auteur de poèmes.

Il étudie les percussions au conservatoire de Toulouse après avoir commencé par la guitare, puis le piano pour composer et s’accompagner, tout en écrivant des chansons depuis l’âge de 12 ans.

Il démarre comme batteur dans des groupes et orchestres, puis batteur-chanteur, clavier-chanteur puis chanteur, en continuant ses études de Sciences Economiques.

Après ses débuts avec le mythique groupe de Rock Progressif toulousain UT GROUND, il crée son propre groupe, MEDIA, qui mêle les influences Rock Progressif, New Wave et Reggae. Un album sort en 1980, « Réalité », dont il a écrit tous les textes et musiques ainsi que les arrangements, mais à l’époque il ne chante pas encore. C’est la chanteuse Ghislaine Clavier, à la voix aérienne aux accents lyriques, qui interprète ses textes.

Puis il décide de chanter et devient véritablement auteur-compositeur-interprète.

En 1984, Il signe chez Ariola-BMG pour un single « Happy end / Pris d’panique », sous le nom Jean Launay. Ces chansons, et les autres enregistrées à cette époque, sont rassemblées dans l’album Jean Launay « Mes 80’s » 1986.

Il crée en 1987 son premier studio d’enregistrement, nommé Jinglebell Productions, à Toulouse. Il y enregistrera de nombreux artistes et des musiques originales de toutes sortes, notamment pour la publicité et la vidéo, en plus de ses propres chansons.

Il se consacre à cette époque à un projet musical en anglais avec sa compagne de l’époque, la chanteuse américaine Debbie Atterholt, avec laquelle il compose et enregistre, sous le nom du groupe LOOK INSIDE. Ce projet donne naissance (en plus d’un petit garçon !), à l’album Look Inside « It’s the Nineties » en 1990, enregistré en partie au célèbre studio Polygone de Toulouse.

En 1990 il signe aussi chez Polygram (Aujourd’hui Universal Music) pour un single et un maxi 45 tours, en forme de clin d’œil au Rap français naissant, sous le nom de Jack le Rappeur. La chanson s’appelle « Rap et tape », enregistrée au non moins célèbre studio du Palais des Congrès à Paris. Cette chanson et d’autres, (mais qui ne sont pas du Rap), composent l’album Jack « Danse ! » 1991.

En 1991-92, il écrit et compose un album pour la chanteuse et comédienne Angélique Magnandans un style variété française assumé. Cela donne l’album Angélique Magnan « Les romans d’Amour » 1992.

Dans les années 90-2000, il travaille dans l’industrie musicale, notamment au sein de la prestigieuse marque d’instruments de musique électroniques Roland.

En 2002, il enregistre un nouvel album, Jack « Percussongs », au studio Solstice à Toulouse. Dans cet album, il met en avant les percussions, notamment mélodiques, et les synthétiseurs.

En 2006, après quelques années de recul, c’est un projet purement Rock n Roll qu’il enregistre avec une bande de musiciens en quasi live, avec des guitares tranchantes. Un premier EP de trois titres sort. La chanson « Les yeux magiques » annonce de manière prémonitoire le déferlement de caméras de surveillance qui aujourd’hui envahissent notre espace public et menacent notre vie privée. Ces chansons sont dans l’EP 6 titres Jack « Les yeux magiques » 2006.

Son nouvel album « Ce qui compte pour moi » vient de sortir sur les plateformes de streaming et en CD. Deux singles en sont extraits: « Money’s gotta win hearts » et surtout « Dans quel monde vis-tu ? » , une chanson qui parle des théories conspirationnistes et des désinformations qui divisent la société actuelle.

Les arrangements sont une synthèse de ses influences musicales et de différentes époques, avec un accent mis sur la rythmique et les percussions. Les textes sont inspirés des événements et des questions qui agitent le monde actuel, ou d’expériences plus intimistes, avec de fréquents jeux sur la langue. La plupart sont en français et quelques-uns en anglais.

Tous ses anciens albums et singles ressortent aujourd’hui sous son propre label Jack Music sur i-Musician Digital. Ils sont disponibles en streaming sur toutes les plateformes musicales numériques et directement accessibles depuis son site www.jeanlaunayjack.fr, où ils sont également disponibles à l’achat en CD ou vinyle.